Guillaume Chamanadijan

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photo de Guillaume Chamanadijan et Claire Duvivier
© PH.Matsas

Né en 1980, Guillaume Chamanadjian est un auteur français amateur de jeux de rôle qui signe le premier tome de la trilogie Capitale du Sud. Le Sang de la cité, aux Forges de Vulcain en 2021. Cette trilogie, faisant partie intégrante du cycle Tour de garde créé avec Claire Duvivier, autrice de la trilogie Capitale du Nord, met en place une intrigue frisant avec le roman d’apprentissage dans une ville peuplée de légendes obscures.  

Fortement remarqué dans le paysage des littératures de l’imaginaire dès la sortie du premier tome de la trilogie, Guillaume Chamanadjian a remporté de nombreux prix et particulièrement le Prix des Imaginales du roman francophone 2022.  

Lors de la Comédie du Livre – 10 jours en mai, il présentera le dernier tome de la trilogie : La Tour de garde, Capitale du Sud, intitulé Les Contes suspendus.

Bibliographie

La Tour de garde, Capitale du Sud. Vol.1. Le Sang de la cité, Aux forges Vulcain, 2021

La Tour de garde, Capitale du Sud. Vol.2. Trois lucioles, Aux forges Vulcain, 2022

La Tour de garde, Capitale du Sud. Vol.3. Les Contes suspendus, Aux forges Vulcain, 2023

couverture Les contes suspendus

Résumé de l'œuvre

La Tour de garde, Capitale du Sud. Vol.3. Les Contes suspendus, Aux forges Vulcain, 2023

 

Dans ce troisième et dernier volet de Capitale du Sud, Nox, ancien commis d’épicerie devenu négociateur de la maison de la Caouane, doit quitter la ville de Gemina suite à des événements terribles. Arrivant enfin au domaine de la tour de Garde, il est bien décidé à construire un havre de paix, loin des machinations de la Cité. Mais les murs de cette utopie sont fragiles face à la malveillance de la capitale et Nox devra affronter une menace ancestrale afin de protéger cette utopie.  

Dans un univers inspiré par la ville de Sienne, Guillaume Chamanadjian propose un roman d’apprentissage où se mêlent affaires politiques et légendes obscures.

Extrait de l'oeuvre

« Pour la toute première fois, les mots de la conteuse mirent en lumière une sorte de vide dans mon existence. Pas seulement ce néant que je ressentais parfois et qui s’emplissait aussitôt d’une colère sans motif, avide d’un exutoire, mais un univers de possibilités, des myriades de chemins qui s’entremêlaient devant mes yeux neufs. Si de simples personnages d’histoire qui avaient vécu mille ans auparavant pouvaient tant émouvoir, ne pouvais-je pas prendre exemple sur eux et vivre moi-même quelque chose ? »

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