Géraldine Collet

Née en 1975 à Paris, Géraldine Collet fait des études d’histoire contemporaine avant de devenir professeure. Elle enseigne les lettres et l’histoire au lycée durant quatorze ans. Elle parcourt la Seine-Saint-Denis, l’Aisne, puis s’installe à Colmar où elle se consacre aujourd’hui pleinement à l’écriture de ses albums, avec humour et énergie, illustrés par différents artistes.   

Essentiellement autrice jeunesse, elle a fait paraître plus d’une soixantaine d’albums, dont une partie a traversé les frontières, traduits en chinois, coréen, anglais, allemand, espagnol, arabe, maltais, portugais, norvégien, néerlandais ou encore en italien. Également scénariste de bande dessinée, Géraldine Collet ne limite pas sa création et continue d’explorer d’autres formes littéraires. 

Bibliographie

Albums de la collection Tout mignons, Sarbacane.  

Tu lis où ?, P’tit Glénat, 2009.  

Une journée de liberté, Sarbacane, 2022.  

Chaque heure de bonheur, Sarbacane, 2023.  

Les Petits Mondes, Mijade, 2024.

Livre roman escargot

Résumé de l'œuvre

Chaque heure de bonheur, Sarbacane, 2023.

 

Un album paru aux éditions Sarbacane pour les enfants à partir de 6 ans. Aujourd'hui, Choms, un petit campagnol, est de mauvaise humeur. Avec l'aide de son amie Mirabelle, il cherche la clé du bonheur en testant ce qui rend heureux ou malheureux.
 

 

Escargot, Sarbacane, 2024.

 

Le dernier album de la collection des Tout mignons, des albums cartonnés avec des rabats pour découvrir le mode de vie des animaux (Rouge-gorge, Crabe, Papillon, Marmotte, Hippocampe, Chouette, Coccinelle, On dit du loup).

Extrait de l'oeuvre

Pour Chaque heure de bonheur, Sarbacane, 2023.

 

“Comme tous les campagnols, Choms passait de bonnes et de mauvaises journées. Pour se souvenir des meilleures, il regardait les photos accrochées dans sa chambre. Ici, le fameux jour où il était troisième à la grande crouse de printemps. Là, les vacances à Mer-les-foins et la délicieuse glace à la pistache dégustée devant un coucher de soleil.

Quant aux pires journées, il préférait les oublier...”

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