Audrey Pleynet

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Photo Audrey Pleynet
© L'Epaule d'Orion

Née en 1984 à Soissons, Audrey Pleynet est une autrice d’imaginaire française. Après des études de commerce, elle s’oriente vers l’humanitaire en travaillant à l’international pour différentes ONG : c’est lors de ses missions souvent sans internet, télévision, ni électricité, qu’elle commence à écrire.

De retour en France, elle auto-édite dès 2017 Noosphère, son premier roman de science-fiction. A cette première entrée remarquée feront suite plusieurs nouvelles, dont « Beauté », qui obtient le troisième prix du concours d’écriture des Imaginales de 2018.

En France, elle est aujourd’hui considérée comme l’une des étoiles montantes de la science-fiction.

Bibliographie

Noosphère, auto-édition, 2017

Ellipses, auto-édition, 2019

La Tenancière, Frontières, imaJn’ère, 2019

Quelques gouttes de thé, Revenir de l’avenir, Le Grimoire, 2019

Couverture de Rossignol de Audrey Pleynet

Résumé de l'œuvre

« Mais j’étais lasse. J’avais le sentiment que si j’adhérais à une idée, un projet, quelques discussions plus tard mon opinion volerait en éclats, balayée par le discours d’un quidam semblant plus apte que moi à réfléchir et à se prononcer sur ces choses. J’avais peur de me tromper constamment, de baser mes idées politiques sur une vision étriquée de la réalité, peur de blesser quelqu’un. Face aux militants aguerris, je me sentais enfant timide et illégitime. Comment mon vécu individuel, si particulier, aurait pu se muer en une vision globale que j’aurais cherché à imposer aux autres ? »

Extrait de l'oeuvre

« Mais j’étais lasse. J’avais le sentiment que si j’adhérais à une idée, un projet, quelques discussions plus tard mon opinion volerait en éclats, balayée par le discours d’un quidam semblant plus apte que moi à réfléchir et à se prononcer sur ces choses. J’avais peur de me tromper constamment, de baser mes idées politiques sur une vision étriquée de la réalité, peur de blesser quelqu’un. Face aux militants aguerris, je me sentais enfant timide et illégitime. Comment mon vécu individuel, si particulier, aurait pu se muer en une vision globale que j’aurais cherché à imposer aux autres ? »

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